Referendum Nouvelle Caledonie
Si le « non » à l'indépendance l'a emporté à 96 % au troisième référendum, le scrutin a été marqué par une très faible participation, . En désaccord avec le gouvernement français sur le choix de la date de ce scrutin, le camp indépendantiste a appelé au boycott. À la suite du premier référendum qui s'est tenu le 4 novembre 2018, puis de la deuxième consultation qui s'est déroulée le dimanche 4 octobre 2020, . Mais ce scrutin, boycotté par les indépendantistes, a été marqué par une importante abstention (56,1%) et ravive les fractures entre etat et . Pour pouvoir voter, l'électeur doit être impérativement inscrit sur la liste électorale générale et sur la liste électorale spéciale pour la consultation à l' .
Mais ce scrutin, boycotté par les indépendantistes, a été marqué par une importante abstention (56,1%) et ravive les fractures entre etat et .
Si le « non » à l'indépendance l'a emporté à 96 % au troisième référendum, le scrutin a été marqué par une très faible participation, . À la suite du premier référendum qui s'est tenu le 4 novembre 2018, puis de la deuxième consultation qui s'est déroulée le dimanche 4 octobre 2020, . Avant le scrutin, les indépendantistes ont appelé leurs partisans à ne pas participer au vote car ils dénonçaient l'impossibilité de faire . La participation au référendum sur l'indépendance s'élevait à midi à 41,60% à 17h, contre 79,63% en 2020. Mais ce scrutin, boycotté par les indépendantistes, a été marqué par une importante abstention (56,1%) et ravive les fractures entre etat et . En désaccord avec le gouvernement français sur le choix de la date de ce scrutin, le camp indépendantiste a appelé au boycott. Le scrutin — marqué par une forte participation (81,01 %) — voit les votants répondre « non » à 56,67 % à la proposition d'indépendance. Pour pouvoir voter, l'électeur doit être impérativement inscrit sur la liste électorale générale et sur la liste électorale spéciale pour la consultation à l' .
Avant le scrutin, les indépendantistes ont appelé leurs partisans à ne pas participer au vote car ils dénonçaient l'impossibilité de faire . Si le « non » à l'indépendance l'a emporté à 96 % au troisième référendum, le scrutin a été marqué par une très faible participation, . Mais ce scrutin, boycotté par les indépendantistes, a été marqué par une importante abstention (56,1%) et ravive les fractures entre etat et . En désaccord avec le gouvernement français sur le choix de la date de ce scrutin, le camp indépendantiste a appelé au boycott. Pour pouvoir voter, l'électeur doit être impérativement inscrit sur la liste électorale générale et sur la liste électorale spéciale pour la consultation à l' .
Mais ce scrutin, boycotté par les indépendantistes, a été marqué par une importante abstention (56,1%) et ravive les fractures entre etat et .
Si le « non » à l'indépendance l'a emporté à 96 % au troisième référendum, le scrutin a été marqué par une très faible participation, . Mais ce scrutin, boycotté par les indépendantistes, a été marqué par une importante abstention (56,1%) et ravive les fractures entre etat et . Avant le scrutin, les indépendantistes ont appelé leurs partisans à ne pas participer au vote car ils dénonçaient l'impossibilité de faire . Pour pouvoir voter, l'électeur doit être impérativement inscrit sur la liste électorale générale et sur la liste électorale spéciale pour la consultation à l' . La participation au référendum sur l'indépendance s'élevait à midi à 41,60% à 17h, contre 79,63% en 2020. Le scrutin — marqué par une forte participation (81,01 %) — voit les votants répondre « non » à 56,67 % à la proposition d'indépendance. À la suite du premier référendum qui s'est tenu le 4 novembre 2018, puis de la deuxième consultation qui s'est déroulée le dimanche 4 octobre 2020, . En désaccord avec le gouvernement français sur le choix de la date de ce scrutin, le camp indépendantiste a appelé au boycott.
Si le « non » à l'indépendance l'a emporté à 96 % au troisième référendum, le scrutin a été marqué par une très faible participation, . Le scrutin — marqué par une forte participation (81,01 %) — voit les votants répondre « non » à 56,67 % à la proposition d'indépendance. Pour pouvoir voter, l'électeur doit être impérativement inscrit sur la liste électorale générale et sur la liste électorale spéciale pour la consultation à l' . La participation au référendum sur l'indépendance s'élevait à midi à 41,60% à 17h, contre 79,63% en 2020. En désaccord avec le gouvernement français sur le choix de la date de ce scrutin, le camp indépendantiste a appelé au boycott.
Avant le scrutin, les indépendantistes ont appelé leurs partisans à ne pas participer au vote car ils dénonçaient l'impossibilité de faire .
Le scrutin — marqué par une forte participation (81,01 %) — voit les votants répondre « non » à 56,67 % à la proposition d'indépendance. En désaccord avec le gouvernement français sur le choix de la date de ce scrutin, le camp indépendantiste a appelé au boycott. Avant le scrutin, les indépendantistes ont appelé leurs partisans à ne pas participer au vote car ils dénonçaient l'impossibilité de faire . Si le « non » à l'indépendance l'a emporté à 96 % au troisième référendum, le scrutin a été marqué par une très faible participation, . Mais ce scrutin, boycotté par les indépendantistes, a été marqué par une importante abstention (56,1%) et ravive les fractures entre etat et . La participation au référendum sur l'indépendance s'élevait à midi à 41,60% à 17h, contre 79,63% en 2020. À la suite du premier référendum qui s'est tenu le 4 novembre 2018, puis de la deuxième consultation qui s'est déroulée le dimanche 4 octobre 2020, . Pour pouvoir voter, l'électeur doit être impérativement inscrit sur la liste électorale générale et sur la liste électorale spéciale pour la consultation à l' .
Referendum Nouvelle Caledonie. Si le « non » à l'indépendance l'a emporté à 96 % au troisième référendum, le scrutin a été marqué par une très faible participation, . En désaccord avec le gouvernement français sur le choix de la date de ce scrutin, le camp indépendantiste a appelé au boycott. Pour pouvoir voter, l'électeur doit être impérativement inscrit sur la liste électorale générale et sur la liste électorale spéciale pour la consultation à l' . Avant le scrutin, les indépendantistes ont appelé leurs partisans à ne pas participer au vote car ils dénonçaient l'impossibilité de faire . À la suite du premier référendum qui s'est tenu le 4 novembre 2018, puis de la deuxième consultation qui s'est déroulée le dimanche 4 octobre 2020, .
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